Après le « grand effacement », l'événement qui a rayé de la surface de la carte 99% de la population, les survivants se sont retrouvés dans un monde apocalyptique, livrés à eux-mêmes avec leurs marottes. Ces obsessions personnelles sont la dernière pensée qu'ils ont eue avant le cataclysme. Louna est ainsi restée avec ses amis, et Chloé, la copine parfaite, a pris la tête du groupe. Mais alors qu'elle se baigne, et que ses amis attendent sur le bord du lac, elle est obligée de sortir précipitamment de l'eau. Les systèmes des réseaux d'épuration ont atteint leurs limites... Et l'électricité a lâché en ville. Le petit groupe, sur les conseils de Chloé, décide d'aller chez sa grand-mère, complètement obsédée par son petit chien. Face à la situation, le costaud de la bande propose de se réfugier dans un château-fort non loin, de faire des provisions, de la cueillette. L'absence d'électricité ne leur permettra pas de tenir l'hiver. Mais Chloé n'est pas du même avis. Les désaccords sont le meilleur moyen pour réveiller les marottes... Et lorsqu'elles prennent le dessus, tout le monde perd le contrôle. Le groupe finit par se mettre d'accord et marche vers le château. En chemin, ils croisent la route d'un homme seul qui indique qu'il a vu des gens aller vers le barrage pour rétablir l'électricité. Chloé trouve ce plan bien plus adéquat.
- Home
- BD
Sourire d’Acier, Tome 2 : Subm... 0
Monde post-apocalyptique, Fantastique, Anticipation, Cataclysme, Adversité
Léon-la-terreur (Léon Van Ouke... 0
Humour noir, Cataclysme, Humour décalé, Dandy, Provocateur
Découvert dans les pages de l’Echo des Savanes au début des années 80, Léon-La-Terreur est une star de la télévision aux Pays Bas, avant d’être un héros de bande dessinée. Sjef Van Oekel (Léon-La-Terreur) est une sorte de Benny Hill flamand, crée par Wim T. Schippers et incarné par l’animateur Dolf Brouwers. Aux vues de son succès, Schippers propose à Théo Van Den Boogaard de travailler à l’adaptation en bandes des aventures du terrible Léon.
Léon-la-terreur (Léon Van Ouke... 0
Humour noir, Cataclysme, Humour décalé, Dandy, Provocateur
Une série parfaitement irrévérencieuse et totalement décapante. Un pavé dans la mare des idées bien pensantes !Léon Van Oukel a sa petite réputation : celle d'un emmerdeur patenté. Le problème c'est que Léon présente bien. Autant dire donc qu'on ne s'en méfie pas ! Et l'homme peut donc pénétrer sans peine toutes les couches de la société, où il va s'appliquer à mettre un chambard cataclysmique...Série anticonformiste par excellence, Léon la terreur est devenue tout simplement culte, servie par la sublime ligne claire de Theo Van Den Boogaard, en parfait et savoureux décalage avec le scénario acide et piquant de Wim Schippers. Et reste, près de 30 ans après sa première publication, d'une foudroyante puissance comique doublée d'une hargne inspirée contre les dérives de nos sociétés modernes.
Léon-la-terreur (Léon Van Ouke... 0
Humour noir, Cataclysme, Humour décalé, Dandy, Provocateur
Léon-la-Terreur a trois obsessions.1- La finalité de la vie: d'où vient-on ? Où allons-nous ?2- La banque du sperme où malheureusement on ne peut que déposer et où il faut tout faire soi-même...3- Et la machine à laver, engin, hélas, inadapté au self-lavage ! Le reste, Léon s'en tape, il s'en balance. Voire... Le cheval à bascule pourrait être... son nouveau dada !
Léon-la-terreur (Léon Van Ouke... 0
Humour noir, Cataclysme, Humour décalé, Dandy, Provocateur
Coucou, revoilà Léon-la-Terreur ! Grossier, provocateur, mégalo, irascible, Léon c'est une sorte de Gaston Lagaffe qui aurait mal tourné. Léon ne respecte rien, ni personne. Plus dangereux que les SS 20, plus efficace que la cinquième colonne, plus terrifiant que les jeux de 20 heures, Léon fait éclater notre bonne société cartésienne comme un fruit trop mûr. Irrésistible mélange de Charlie Chaplin et de E.T., Léon-la-Terreur, c'est l'Attila du vingtième siècle.
Léon-la-terreur (Léon Van Ouke... 3.0
Humour, Humour noir, Bande dessinée, Rire, Cataclysme, Humour décalé
Léon-la-Terreur, c'est une sorte de Tintin piraté.A la différence du vrai Tintin, celui-là, qui atteint le troisième âge, n'est pas à mettre entre toutes les mains de 7 à 77 ans. A la différence de Bécassine qui met les petits plats dans les grands, Léon-la- Terreur lui, n'hésite pas à mettre les pieds dans le plat !