Nouveaux locaux, nouvel actionnaire, nouveaux visages, nouvelles perspectives, l'an II de WORKINGIRLS s'ouvre sous le signe de l'évolution mais reste, au fil de ses douze épisodes, porté par un vent de liberté et une approche poético-trash, sa marque de fabrique.
Béatrice Fournera
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Dans cette nouvelle saison, il va y avoir du changement à tous les étages. D'abord Karine et Déborah se questionnent sur leur sexualité. Sophie et Sophie rencontrent une adversaire à leur mesure : Michèle, agent de sécurité plutôt zélé et as du taser fraîchement recruté. De son côté, Nathalie dit adieu à sa carte "famille nombreuse" et à son mari Didier, pour devenir la reiner du mojito. Hélène décide d'en finir avec ses problèmes, et passe par une émission de relooking de l'extrème. Elle pense à présent que "quand on veut, on peut!", et croque la vie à pleine dent avec Pierrick.
Une petite entreprise comme une autre... Directrice du service commercial, Karine passe son temps à tyranniser ses employés, et plus particulièrement son assistante, Nathalie. Celle-ci, mère de cinq enfants et abonnée au congé parental, vient de faire son retour au bureau. Déborah, directrice des ressources humaines, la trentaine célibataire, est en charge du recrutement ; un poste en or pour nourrir son appétit sexuel dévorant. Chef de projet au marketing international, Hélène déprime. Elle pleure, mange, consulte et cherche désespérément des amis sur Facebook. Il y a aussi les benjamines de l'entreprise : Sophie et Sophie, 25 ans et standardistes. Chacune d'elles est sans doute le pire cauchemar du macho qui sommeille plus ou moins en chacun de leurs collègues.
Désespérée par un problème digestif chronique qui la fait souffrir, l'humoriste Blanche Gardin décide de consulter un naturopathe qui lui explique que l’autodérision dont elle fait preuve sur scène envoie à son cerveau un message négatif à propos d’elle-même. Blanche accueille ce diagnostic avec la foi du nouveau converti, elle décide d’arrêter l’humour et s’engage sur la route du développement personnel…
Entre un directeur maladroit et gaffeur, une maîtresse « vieille école », des instits aux méthodes personnelles et des parents d’élèves prêts à tout pour la prunelle de leurs yeux, l’école Paul Pédrault est une cour de récré géante. Et les enfants dans tout ça ? Ils profitent du spectacle…